Crónica Vetusta Cup 2024

Feb 19, 2024 | Añejos (+35), Crónicas, ÚLTIMAS NOTICIAS, Uncategorized

Vetusta Cup: Rugby, Sun and Smile! V2

 

(Versión original)

 

C’était une belle journée de printemps, les oiseaux chantaient, le soleil brillait… Nous sentions dans le fond de l’air venir un changement. Issu de l’antre du dragon une atmosphère et un vent de défi s’installèrent. Même Santiago. Le vieux avait fraternisé avec les oiseaux qui lui avait chié sur la chemise (bon lui il disait que c’était les traces de la bouteille de gaz. Ah ah ah ah ah ah).

 

Nous jouions chez nous pour la première fois depuis bien longtemps, nos enfants avaient passé la journée sur le terrain engagés avec d’autres clubs. Nous avions enfin un siège social, nous recevions dans l’antre du dragon.

 

Mais nous ne recevions pas n’importe qui, nous allions recevoir nos amis du Old VRAC.

 

Nous sentions les paroles de cette grande et fameuse complainte montée en nous. Dernièrement  15 ou 20 dragons se regroupent lors de nos rencontres . Aujourd’hui nous étions plus de 30, tous amis, une bande, tous habillé d’un noir, à la mode, vous savez quoi, tous  habillé de noir à la mode d’Hortaleza.

 

Nous allions jouer la Vestuta Cup, comme chaque année, dans un club ou dans l’autre, nous alternions, mais nous n’avions jamais gagné la coupe. Nous avions toujours gagné la troisième mi-temps, surtout grâce à Mito et sa capacité à boire boire et encore boire boire pour peut-être chanter (ou autre chose à gorges déployé).

 

La grande question du jour: allions-nous nous comporter comme des Rugbiers sur le terrain, digne d’être une bande de potes venus accueillir les Quesos! De vieux briscards capables de jouer toutes les combinaisons. Serions-nous capables de jouer notre jeu? Donner tout ce qu’ils nous restent (dans la tête, parce que dans le bide, c’est surtout du gras ) sur le terrain et sortir fier.

 

Le terrain était encore chaud du dernier match des U 14 qui avaient souffert une lourde défaite face au Lycée Français.

 

Mais, qu’à cela ne tienne, nous avions décidé de nous engager tous: Santi, Gigi (JJ), Mito,Alberto, Aliaga, Alberto, Antxon, Cejas (Fernando), Ballesteros, Begines (el No-Mudo), Busero, Cabanillas, Coletas, Cuadrado, Dago, David Boy, Don Aire, Enrique, Juancho, Juanin, Paco Capi, Patas, Peti, Trooper, Urko, Fabio, Puma, Miliko y dos nuevos Tony y Colleto.

 

Et en appui dans les gradins : Renacido, Candyman, Joseba, Jeppeto, Damien! Les Khaleesis: Angie, Pi, Nuria, Vic, des familles de sub-12 et sub-14, des joueurs Sub-14, des sub -12, Ayerdi (de fenicio)

 

Et notre illustre trosième-ligne-trois-quart-centre-ouvreur-Arbtitre Jota! Et votre Normando chroniqueur de service.

 

Nous avions deux équipes complètes, possible de se renouveler à tout moment!  Plus quelques-uns qui voulaient rentrer quelques minutes sur le terrain,  avec reconnaissance spéciale à Puma et Miliko. Il y a d’autres comme Santi qui voulait juste passer un bon moment avec nous..et ça aussi c’est grand!

 

Nos invités du jour sont arrivés en bus, mais précédés d’abord de notre bien heureux et vénéré Quesito, le Nosferatu de Valladollid (bientôt sur les écran de cinéma, pas sur netfixl). Venant avec une petite équipe et peu de soutien en substitution.

 

Après un bel échauffement, notre capitaine Gigi (alias JJ. Désolé mon capitaine, c’est le français qui sonne comme ça avec JJ) nous a rappelé l’ordre du jour: après 10 ans de perdre la Vestuta Cup, nous avions la possibilité pour la première fois, à domicile de la gagner. Nous étions prêts. Nous avions un Plan,  et Dieux que nous étions nombreux! C’était le moment de gagner…

 

Le match a été très intéressant et très serré. Pourquoi? Par chance parce que Dieu existe selon Villegas, nos opposants du jour nous ont offert d’abord un essai dès le début du match sur une interception d’une passe, par Urko  qui a marqué,  et ensuite, parce qu’ils firent tomber de nombreux ballons d’attaque et certains tout près de notre ligne d’essai.

 

Mais comme il se disait sur la touche, les Quesitos ne faisaient que s’échauffer!

 

Ils repondèrent rapidement par leur essai, pour égaliser 1 à 1 après une série de pick-and-go et une mêlée. Surtout nous constations qu’ils avaient changé de stratégie: plutôt que de jouer avec leurs avants,  ils utilisaient quelques percussions pour aller ouvrir la ligne voire chercher la touche.

 

Nous tentions de répondre, mais nous avions énormément de mal à ouvrir notre ligne. Nous restions sur des «Negro» après «Negro», sans pouvoir ouvrir et passer le ballon pour aller marquer. Les maux habituels, manque de profondeur de la ligne et nombreuses fautes de main aux moments décisifs.

 

Nos amis du jour avaient la fâcheuse habitude d’arriver dans les rucks en mode « plongeon libre à 10 mètres». Aussi, ils avaient tendance à jouer les pénalités que nous leur offrions les unes après les autres, un peu trop vite et avant que notre ligne soit reformée.

 

De notre côté nous aimions énormément mettre les mains dans les rucks comme un mécanicien plonge les siennes dans le moteur (d’autres analogies sont possibles mais nous devons tenir de la publication et de l’âge des lecteurs, ne risquons pas les crises cardiaques). Le tout à générer à notre arbitre Jota pas mal de travail pédagogique des deux côtés., il a même dû rappeler les règles à plusieurs reprises. Arbitre de match de vétérans est un métier très spécial.

 

Notre équipe souffrait nos meilleurs joueurs, sortez asphyxiée, il faisait chaud (Que viva Espana…sangria!) et les premiers remplacement arrivèrent. Malgré cela, nos opposants du jour, réussir à mettre un deuxième essai et nous en restions à 1-2  à la mi-temps.

 

Après un bon rappel de Villegas et de notre capitaine Gigi (pour la chanson correspondant voir Dalilada Gigi sur google), nous reprenions le chemin de nos lignes pour attaquer, et marquer un deuxième essai. À nouveau, cela fut grâce au respect de notre de notre jeu, enchainant des noirs, des mêlées  et en ouvrant à nos trois quarts pour aller chercher l’espace dans la ligne des Quesitos.

 

Derrière une mêlée, sur un dernier ruck tenu par Nacho et Normando, Nacho faisait un dernier pick-and-go pour aller écraser le ballon derrière la ligne. Nous pensions avoir trouvé la faille!

 

Mais nos amis du VRAC ne se laissèrent pas démonter pour autant. Ils maintinrent  la pression sur notre ligne de défense, trouvèrent des espaces , et malgré des passes perdues, sur un dernier ballon tombé au sol et un pichenette du pied, ils réussirent à tout même à obtenir un troisième essai. Nous fûmes proche d’égaliser, mais à nouveau la Vestuta nous échappait.

 

Que dire de ce match? D’abord  rien à déplorer. Aucune lésion grave et que du bon avec des amis. Même Quesito choqué à la tête et resté au sol, sonné, a pu se relever et repartir animer le jeu de son équipe. S’il fallait une preuve, la voici, il s’agit bien du nouveau Nosferatu de Valladolid. De beaux plaquages d’un des MVPs Nacho, hay que reconocer que juega bien por ser argentino. Unos saques de centros de Peti por enseñar a las categorías inferiores….

 

Bien sûr, ce match ne pouvait se terminer sans les chansons traditionnelles pour remercier tous nos supporters, rappeler où sont nos poils et une belle photo. Une bonne douche, une bière, et nous nous retrouvions pour une troisième mi-temps que nous allions naturellement gagner.

 

Retenons avant tout que nous avons joué comme des gamins, nous nous sommes éclatés. Nous avons joué contre une équipe extraordinaire, nos amis du  Old VRAC, un jeu propre.  Même Villegas, ç’est amusée comme un fou à nous coacher. Il nous voyait trépigner comme des mômes (qui voulaient un bonbon devant la vitrine de la boulangère) pour rentrer sur le terrain.

 

Aupa XV!

 

 

 

Copa Vetusta: ¡Rugby, sol y sonrisa! V2

(versión traducida de original en lengua franca)

Era un hermoso día de primavera, los pájaros cantaban, el sol brillaba… Podíamos sentir un cambio en el aire. De la guarida del dragón llegó una atmósfera y un viento de desafío. Incluso Santiago. El viejo había confraternizado con los pájaros que se habían cagado en su camisa (aunque él decía que eran los restos de la bombona de gas. Ah ah ah ah ah).

Por primera vez en mucho tiempo jugábamos en casa, y nuestros hijos habían pasado el día en el campo jugando con otros clubes. Por fin teníamos nuestra propia sede y organizábamos una fiesta en la guarida del dragón.

Pero no íbamos a dar la bienvenida a cualquiera, sino a nuestros amigos del antiguo VRAC.

Podíamos sentir cómo surgían dentro de nosotros las palabras de este gran y famoso lamento. Últimamente, en nuestras reuniones se reúnen 15 o 20 dragones. Hoy éramos más de 30, todos amigos, una pandilla, todos vestidos de negro, a la moda, ya sabes qué, todos vestidos de negro a la moda de Hortaleza.

 
 


Íbamos a jugar la Copa Vestuta, como todos los años, en un club o en otro, nos alternábamos, pero nunca habíamos ganado la copa. Siempre habíamos ganado el tercer tiempo, sobre todo gracias a Mito y a su habilidad para beber y beber y beber y cantar (o lo que fuera que hiciera).

 

La gran pregunta del día: ¿nos íbamos a comportar como Rugbiers en el campo, dignos de ser un grupo de compañeros que habían venido a recibir al Quesos? Veteranos capaces de jugar cualquier combinación. ¿Seríamos capaces de hacer nuestro juego? Dar todo lo que tenemos (en la cabeza, porque en el estómago es sobre todo grasa) en el campo y salir orgullosos.

El terreno de juego aún estaba caliente tras el último partido de los sub-14, en el que sufrieron una dura derrota contra el Liceo Francés.

Pero, sea como fuere, todos decidimos participar: Santi, Gigi (JJ), Mito,Alberto, Aliaga,

Alberto, Antxon, Cejas (Fernando), Ballesteros, Begines (el No-Mudo), Busero, Cabanillas, Coletas, Cuadrado, Dago, David Boy, Don Aire, Enrique, Juancho, Juanin, Paco Capi, Patas, Peti, Trooper, Urko, Fabio, Puma, Miliko y dos nuevos Tony y Colleto.

Y de apoyo en las gradas: ¡Renacido, Candyman, Joseba, Jeppeto, Damián! Los Khaleesis:

Angie, Pi, Nuria, Vic, familias sub-12 y sub-14, jugadores sub-14, jugadores sub-12, Ayerdi (de fenicio)

Y nuestro ilustre tercera fila, tres cuartos, Arbtitre Jota. Y vuestro columnista Normando.

Teníamos dos equipos completos, ¡así que podíamos renovar en cualquier momento!

Además de unos cuantos que querían volver al campo unos minutos, con reconocimiento especial para Puma y Miliko. Hubo otros como Santi que sólo querían pasar un buen rato con nosotros… ¡y eso también es genial!

Nuestros invitados del día llegaron en autobús, pero precedidos primero por nuestro muy feliz y venerado Quesito, el Nosferatu de Valladollid (pronto en las pantallas de cine, no en netfixl). Venía con un equipo reducido y poco apoyo suplente.

Tras un buen calentamiento, nuestro capitán Gigi (alias JJ. Después de 10 años perdiendo la Copa Vestuta, teníamos la oportunidad de ganarla por primera vez en casa. Estábamos preparados. Teníamos un plan, ¡y vaya si éramos muchos! Era hora de ganar…

El partido fue muy interesante y muy reñido. ¿Pero por qué? Por suerte, porque Dios existe según Villegas, nuestros rivales del día primero nos hicieron un try al comienzo del partido en una intercepción de un pase, por parte de Urko que marcó, y después, porque soltaron muchas pelotas de ataque y algunas muy cerca de nuestra línea de try.

Pero como dijo desde el banquillo, ¡los Quesitos sólo estaban calentando!

Rápidamente respondieron con un try propio, igualando el marcador 1-1 tras una serie de pick-and-go’s y un scrum. Sobre todo, vimos que habían cambiado de estrategia: en lugar de jugar con sus delanteros, utilizaban cierta percusión para abrir la línea o incluso ir al touch.

Intentamos responder, pero nos resultó extremadamente difícil abrir nuestra línea. No hemos hecho más que ‘Negro’ tras ‘Negro’, sin ser capaces de abrirnos y pasar el balón para marcar. Los males de siempre, falta de profundidad en la línea y numerosos errores de mano en los momentos decisivos.

Nuestros amigos del día tenían la molesta costumbre de entrar en los rucks en modo zambullida libre a 10 metros de distancia. Como resultado, tendían a jugar los penaltis que les ofrecíamos uno tras otro, un poco demasiado rápido y antes de que nuestra línea se hubiera reformado.

Por nuestra parte, disfrutamos mucho metiendo las manos en los rucks, igual que un mecánico mete las manos en el motor (otras analogías son posibles, pero hay que tener en cuenta la publicación y la edad de los lectores, así que no nos arriesguemos a un infarto). Todo ello hizo que nuestro árbitro Jota tuviera que hacer mucha pedagogía en ambos bandos, e incluso tuvo que recordar el reglamento en varias ocasiones. Arbitrar partidos de veteranos es un trabajo muy especial.

Nuestro equipo sufría, nuestros mejores jugadores, salían asfixiados, hacía calor (¡Que viva España…sangría!) y llegaron las primeras sustituciones. A pesar de ello, nuestros adversarios del día consiguieron meter un segundo try y nos quedamos en 1-2 al descanso.

Tras un buen recordatorio de Villegas y nuestro capitán Gigi (para la canción correspondiente ver Dalilada Gigi en Google), volvimos a nuestras líneas para atacar y marcar un segundo try. Una vez más, fue gracias a nuestro respeto por nuestro juego, enlazando blacks, scrums y abriendo a nuestros tres cuartos para encontrar espacios en la línea de Quesitos.

Tras un scrum, en un último ruck sostenido por Nacho y Normando, Nacho hizo un último pick-and-go para aplastar la pelota detrás de la línea. ¡Pensamos que habíamos encontrado el punto de inflexión!

Pero nuestros amigos del VRAC no dejaron que eso les detuviera. Mantuvieron la presión sobre nuestra línea defensiva, encontraron espacios y, a pesar de perder algunos pases, consiguieron un tercer ensayo gracias a un último balón que cayó al suelo y a un movimiento del pie. Estuvimos a punto de empatar, pero una vez más la Vestuta se nos escapó.

¿Qué podemos decir de este partido? En primer lugar, que no había nada de qué quejarse. Ninguna lesión grave y sólo buenos momentos entre amigos. Incluso Quesito, que sufrió un golpe en la cabeza y se quedó aturdido en el suelo, fue capaz de levantarse y volver a meter a su equipo en el partido. Si hacía falta una prueba, aquí está: el nuevo Nosferatu de Valladolid. Algunos buenos placajes de uno de los MVP, Nacho, hay que reconocer que juega bien por ser argentino. Unos saques de centros de Peti por enseñar a las categorías inferiores….

Por supuesto, el partido no podía terminar sin los tradicionales cánticos de agradecimiento a todos nuestros seguidores, recordándonos dónde tenemos el pelo y una bonita foto. Una buena ducha, una cerveza y nos reunimos de nuevo para un tercer tiempo que, naturalmente, íbamos a ganar.

Sobre todo, jugamos como niños y nos lo pasamos muy bien. Jugamos contra un equipo extraordinario, nuestros amigos del Viejo VRAC, con un juego limpio.  Incluso Villegas se lo pasó en grande entrenándonos. Nos veía zapatear como niños (que querían un caramelo del escaparate de la panadería) para entrar en el campo.

¡Aúpa XV!

 

 

 

 

 

Taça Vetusta: Rugby, Sol e Sorriso! V2

(versión traducida de original en lengua franca)

 

Era um belo dia de primavera, os pássaros cantavam, o sol brilhava… Sentia-se uma mudança no ar. Do covil do dragão vinha uma atmosfera e um vento de desafio. Até Santiago. O velho tinha confraternizado com os pássaros que lhe tinham cagado na camisa (embora dissesse que eram os vestígios da garrafa de gás. Ah ah ah ah ah ah ah ah).

 

Jogávamos em casa pela primeira vez desde há muito tempo, os nossos filhos passavam o dia no relvado a jogar com outros clubes. Tínhamos finalmente a nossa própria sede social e estávamos a organizar uma festa no covil do dragão.

 

Mas não estávamos a receber qualquer um, estávamos a receber os nossos amigos do Velho VRAC.

 

Podíamos sentir as palavras desse grande e famoso lamento a crescer dentro de nós. Ultimamente, 15 ou 20 dragões reúnem-se nas nossas reuniões. Hoje éramos mais de 30, todos amigos, um bando, todos vestidos de preto, à moda, sabem como é, todos vestidos de preto à moda de Hortaleza.

 

Íamos disputar a Taça Vestuta, como fazíamos todos os anos, num clube ou noutro, alternávamos, mas nunca tínhamos ganho a taça. Ganhámos sempre a terceira parte, graças sobretudo ao Mito e à sua capacidade de beber, beber, beber e cantar (ou seja lá o que for que se faz).

 

A grande questão do dia: íamos comportar-nos como Rugbiers em campo, dignos de ser um grupo de amigos que tinha vindo receber os Quesos! Velhos companheiros capazes de jogar qualquer combinação. Seríamos capazes de fazer o nosso jogo? Dar tudo o que temos (na cabeça, porque no estômago é sobretudo gordura) em campo e sair orgulhosos.

 

O relvado ainda estava quente do último jogo dos Sub14, quando sofreram uma derrota pesada contra o Lycée Français.

 

Mas não importa, todos nós decidimos participar: Santi, JJ, Mito, Alberto, Aliaga, Alberto, Antxon, Cejas (Fernando), Ballesteros, Begines (el No-Mudo), Busero, Cabanillas, Moletas, Cuadrado, Dago, David Boy, Don Aire, Enrique, Juancho, Juanin, Paco Capi, Patas, Peti, Trooper, Urko, Fabio, Puma, Miliko e os novos Tony e Colleto.

 

E nas bancadas: Renacido, Candyman, Joseba, Jeppeto, Damien! Os Khaleesis: Angie, Pi, Nuria, Vic, famílias sub-12 e sub-14, jogadores sub-14, jogadores sub-12, Ayerdi (de fenício)

 

E o nosso ilustre terceiro-linha-três-quartos-centro-rover-Arbtitre Jota! E o vosso Normando.

 

Tínhamos duas equipas completas, com a possibilidade de renovar a qualquer momento!  Mais alguns que queriam voltar a entrar em campo por alguns minutos, com um agradecimento especial a Puma e Miliko. Houve outros, como o Santi, que só queriam passar um bom bocado connosco… e isso também é ótimo!

 

Os nossos convidados do dia chegaram de autocarro, mas primeiro precedidos pelo nosso muito feliz e venerado Quesito, o Nosferatu de Valladollid (que em breve estará nos ecrãs de cinema, não no netfixl). Vinha com uma pequena equipa e pouco apoio substituto.

 

Depois de um bom aquecimento, o nosso capitão Gigi (também conhecido por JJ. Depois de 10 anos a perder a Taça Vestuta, tínhamos a oportunidade de a ganhar pela primeira vez em casa. Estávamos preparados. Tínhamos um plano, e éramos muitos! Era altura de ganhar…

 

O jogo foi muito interessante e muito renhido. Porque é que foi tão renhido? Por sorte, porque Deus existe, segundo Villegas, os nossos adversários do dia começaram por nos dar um tento no início do jogo, quando Urko interceptou um passe e marcou, e depois porque deixaram cair muitas bolas de ataque, algumas muito perto da nossa linha de ensaio.

 

Mas, como se dizia nas linhas laterais, os Quesitos estavam apenas a aquecer!

 

Rapidamente responderam com o seu próprio ensaio, empatando o resultado em 1-1 após uma série de pick-and-go’s e um scrum. Acima de tudo, vimos que tinham mudado de estratégia: em vez de jogarem com os seus avançados, estavam a usar alguma percussão para abrir a linha ou mesmo para tocar.

 

Tentámos reagir, mas tínhamos muita dificuldade em abrir a nossa linha. Continuámos a fazer «preto» atrás de «preto», sem conseguir abrir e passar a bola para marcar. Os problemas habituais, a falta de profundidade na linha e os numerosos erros de mão nos momentos decisivos.

 

Os nossos amigos do dia tinham o hábito irritante de chegar aos cestos em modo de mergulho livre a 10 metros de distância. Também tinham tendência para jogar as penalidades que lhes oferecíamos umas a seguir às outras, um pouco depressa demais e antes de a nossa linha ser reformada.

 

Pela nossa parte, gostávamos de meter as mãos nos depósitos como um mecânico mete as suas no motor (outras analogias são possíveis, mas temos de ter em conta a publicação e a idade dos leitores, não vamos arriscar um ataque cardíaco). Tudo isto fez com que o nosso árbitro Jota tivesse de ensinar muito a ambos os lados, e teve mesmo de relembrar as regras em várias ocasiões. Arbitrar um jogo de veteranos é um trabalho muito especial.

 

A nossa equipa estava a sofrer com os nossos melhores jogadores, que saíam asfixiados, estava calor (Que viva Espana… sangria!) e as primeiras substituições chegaram. Apesar disso, os nossos adversários do dia conseguiram marcar um segundo tento e ao intervalo mantínhamos o 1-2.

 

Depois de uma boa chamada de atenção de Villegas e do nosso capitão Gigi (para a canção correspondente, ver Dalilada Gigi no Google), voltámos às nossas linhas para atacar e marcar um segundo tento. Mais uma vez, foi graças ao respeito pelo nosso jogo, ligando os blacks, os scrums e abrindo os nossos três quartos para encontrar espaço na linha dos Quesitos.

 

Atrás de um scrum, num último ruck mantido por Nacho e Normando, Nacho fez um último pick-and-go para esmagar a bola atrás da linha. Pensámos que tínhamos encontrado o ponto de partida!

 

Mas os nossos amigos do VRAC não deixaram que isso os detivesse. Mantiveram a pressão sobre a nossa linha defensiva, encontraram espaço e, apesar de terem perdido alguns passes, de uma última bola lançada e de um movimento do pé, ainda conseguiram o terceiro tento. Estivemos perto de empatar, mas mais uma vez a Vestuta escapou-nos.

 

O que é que podemos dizer do jogo? Em primeiro lugar, não houve nada a lamentar. Não houve lesões graves e apenas bons momentos com os amigos. Até o Quesito, que sofreu um traumatismo craniano e ficou atordoado no chão, conseguiu levantar-se e levar a sua equipa de volta ao jogo. Se fosse preciso uma prova, aqui está ela: o novo Nosferatu de Valladolid. Um dos melhores marcadores do jogo, Nacho, tem de reconhecer que joga bem por ser argentino. Unos saques de centros de Peti por enseñar a las categorías inferiores….

 

Claro que o jogo não poderia ter terminado sem as tradicionais canções de agradecimento a todos os nossos apoiantes, uma lembrança de onde está o nosso cabelo e uma bela fotografia. Um bom duche, uma cerveja, e estávamos de volta para uma terceira parte que, naturalmente, íamos ganhar.

 

Acima de tudo, jogámos como miúdos e divertimo-nos muito. Jogámos contra uma equipa extraordinária, os nossos amigos do Old VRAC, com um jogo limpo.  Até o Villegas se divertiu muito a treinar-nos. Ele via-nos a bater os pés como crianças (que queriam um doce em frente à janela do padeiro) para entrar no campo.

 

Aupa XV!

 

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